Sommaire : Trois questions à Michel Beaudouin-Lafon, directeur du LRI | L'actualité de la semaine | Théories et concepts | Enseignement| Entreprises| Manifestations | Le livre de la semaine | Détente |
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Retenez la date : l'Asti organise sa première école d'été, en Ile-et-Vilaine, du 1er au 12 septembre 2003. Thème fédérateur : l'image. |
"Il est difficile d'expliquer à un théoricien formaliste la valeur de nos recherches en interaction homme-machine."
Asti-Hebdo : ? Vous dirigez le LRI (Laboratoire de recherche en informatique), situé sur le campus d'Orsay (université Paris Sud), avec ses 170 chercheurs répartis en dix équipes. Nos lecteurs trouveront sur votre site le détail de vos activités. Sans en faire ici le tour systématique, pouvez-vous nous indiquer les axes actuellement les plus évolutifs ?
Michel Beaudouin-Lafon : Nos orientations sont précisées dans un rapport disponible en ligne. Je me limiterai à quelques exemples. Nous venons de créer une équipe bio-informatique. Elle rassemble des spécialistes de l'algorithmique, de la logique, de l'apprentissage, des bases de données. Elle coopère aussi avec les équipes du Limsi pour la visualisation et avec des équipes de biologistes. Nous venons de recruter un professeur, et elle va donc atteindre la dimension critique pour fonctionner, c'est à dire une dizaine de chercheurs.
Son approche, qualifiée de "multicritère", consiste à étudier un problème sous différents aspects. Par exemple, on commence avec l'aspect algorithmique, qui permet de générer des génomes aléatoires. Puis on fait de mesures pour apprécier quels sont les "bons génomes". Puis on visualise leurs configurations spatiales... et l'on obtient des résultats que chacun ne pourrait trouver isolément.
Notre équipe calcul quantique est une des rares en France et dans le monde à travailler dans le domaine. Elle s'intéresse surtout à la puissance théorique du modèle. Pour ce qui concerne les matériels, des "boites quantiques" proprement dites, elle est en liaison notamment avec les laboratoires d'optique de l'université d'Orsay. Nous sommes encore assez loin de parvenir à des réalisations opérationnelles. Mais de toutes façons ces modèles de calcul sont intéressants, et pourraient s'implanter utilement sur des ordinateurs classiques. Et, à long terme, la loi de Moore finira par nous faire buter sur les frontières matérielles du quantique, et il faudra soit combattre les effets que l'on y rencontre, soit les exploiter.
Un autre domaine est bien représenté chez nous : le calcul distribué à large échelle (grilles de calcul ou grid). Nous disposons d'une ferme groupant une centaine d'unités centrales. Mais une grande partie du travail relève de la simulation. Car ce qui est intéressant, c'est de voir ce qui arrive quand on fait coopérer dix ou cent mille machines... et l'on imagine mal de les acheter de les gérer matériellement. Ici coopèrent plusieurs de nos équipes. A l'origine, ce groupe émane de notre équipe "architecture parallèle" (à partir notamment de ses travaux sur les clusters), et elle collabore désormais avec l'équipe "parallélisme", qui développe des algorithmes répartis.
En effet, la résistance aux pannes est un point-clé et cette équipe travaille sur l' "auto-stabilisation", c'est à dire des algorithmes qui garantissent que les systèmes ne se bloquent pas en cas de panne et se récupèrent en un temps fini (éventuellement long). Il s'agit, plutôt que de traiter les pannes et les erreurs comme des situations exceptionnelles traitées spécifiquement, de mettre la résistance au coeur même du système.
Nous comptons résoudre par là une difficulté rencontrée dans la mise en coopération de parcs d'ordinateurs individuels et non plus de CPU en ferme. Si l'on veut utiliser la puissance disponible sur les bureaux, il faut que la personne qui revient au travail puisse utiliser immédiatement son poste. En pratique, cela oblige à y interrompre les tâches du grid, ce qui revient de ce point de vue à une panne.
En particulier, il faut qu'une panne (ou l'arrêt volontaire du travail sur une machine) fasse perdre le moins possible de résultats, et il faut donc que ceux-ci soient communiqués sur un rythme suffisamment élevé. Ce problème de communication en soulève un autre : celui de la confidentialité, essentiel dans certaines communautés intéressées par le grid, par exemple les groupes de création graphique.
Un trait important dans ce domaine : historiquement, les spécialistes du parallélisme travaillaient surtout au niveau du matériel (architectures SIMP ou MIMP... ). Aujourd'hui, l'aspect mise en communication, en réseau, met au premier plan les aspects logiciels.
Mais je voudrais surtout vous parler du PCRI, projet dans le quel notre laboratoire est fortement impliqué.
Asti-Hebdo : Le PCRI ? De quoi s'agit-il ?
P.B. Le "pôle commun de recherche en informatique" rassemble trois unités de recherche : le LIX (laboratoire d'informatique de l'école Polytechnique), l'Inria Futurs (une nouvelle unité de recherche créée par l'Inria pour préparer ses nouvelles implantations à Saclay, Lille et Bordeaux) et le LRI (impliquant le CNRS et l'université Paris-Sud).
Le nouveau site, implanté sur le plateau de Saclay, sera dimensionné pour 250 chercheurs dans la première tranche. La convention sera signée en novembre et sa directrice est Marie-Claude Gaudel.
Trois projets vont être lancés dans ce cadre (et d'autres sont en gestation) :
- Logical, sur la preuve de programmes appliquée à la certification
de logiciels ; il reprend notre équipe "démonstration et preuve" et l'ex-projet
Coq de l'Inria ; avec trente personnes et plus, c'est un gros projet ;
- Gemo, qui unit l'ancien projet Verso de l'Inria (bases de données,
avec une orientation récente vers les données peu structurées) et notre
équipe Iasi (Intelligence artificielle et systèmes d'inférences) ; ce
domaine est aujourd'hui fortement marqué par XML ; deux approches sont
en concurrence : les entrepôts de données traditionnels et les "médiateurs",
afin d'exploiter quelques structures XML pour répondre à des requêtes
prenant en compte le sens des mots et la structure des données au lieu
des simples mots-clés des indexeurs actuels ;
- Insitu (interaction située), qui associe un groupe de recherche
du LRI et deux chercheurs recrutés par l'Inria pour lancer le projet ;
l'objectif est d'améliorer l' "utilisabilité" des applications ;
ce terme un peu barbare fait l'objet de nombreux travaux actuellement ;
le projet développe de nouvelles techniques d'interaction comme la réalité
augmentée, qui vise à effacer la frontière entre objets physiques et
données informatiques, et s'appuie sur des démarches de conception participative
dont la Scandinavie s'est fait une spécialité dans les années 70 ; il s'agit
de demander aux utilisateurs non seulement de donner leur avis sur les
développements en cours, mais d'y contribuer en tant
qu'innovateurs à part entière ; ce projet est multi-disciplinaire, et fait
intervenir auprès des informaticiens, des psychologues, sociologues et
ethnologues aussi bien que des designers industriels et des spécialistes
des arts graphique.
Asti-Hebdo : On parle beaucoup de pluri-disciplinarité. Mais est-ce si facile à pratiquer dans un laboratoire de "sciences dures" comme l'informatique ?
P.B. : Nous connaissons en France un schisme entre la recherche dure et les autres. Le LRI a de multiples collaborations avec la physique, la biologie, l'optique, les mathématiques, notamment sur le campus d'Orsay. Mais des spécialités comme la mienne, l'interaction homme-machine, le fait de travailler avec des psychologues ou des spécialistes de sciences sociales est souvent mal compris, car ces sciences sont perçues comme "molles. Le manque de pratique pluridisciplinaire dans nos cursus et dans notre organisation de la recherche accentue cette différence, et les chercheurs ayant vraiment une culure interdisciplinaire sont très rares en France.
Il faut pourtant savoir que la psychologie expérimentale, par exemple, est une science beaucoup plus "dure" que l'informatique, qu'elle fait appel à des dispositifs expérimentaux bien plus exigeants et à des méthodes scientifiques bien plus rigoureuses que, par exemple, le benchmark de logiciels.
Le CNRS et son département Stic cherchent à développer la pluridisciplinarité, mais c'est une opération de longue haleine. Des sections interdisciplinaires sont en train de se mettre en place, par exemple. Il reste que l'informatique, en France, est pour une bonne part issue des départements de mathématiques, et tend donc à privilégier les approches théoriques et formalistes par rapport aux approches plus expérimentales.
Pour revenir à l'interaction homme-machine, il est difficile d'expliquer à un théoricien formaliste, habitué à raisonner en termes de théorèmes et de modèles, la valeur de nos recherches en interaction. Elles lui paraissent souvent triviales. Tout le monde a le sentiment de savoir ce qu'il faudrait faire pour améliorer un logiciel de traitement de texte, par exemple. Mais l'effet d'une amélioration est souvent de rendre plus complexes d'autres aspects du logiciel, un peu à l'image des processus chaotiques où une petite cause a des effets incontrôlés.
En fait, le plus frustrant pour le chercheur, c'est qu'un travail d'utilisabilité bien fait n'est pas perçu par l'utilisateur, au contraire. Notre travail consiste à rendre la complexité des systèmes informatiques "invisible" aux utilisateurs, de telle sorte que la facilité d'utilisation obtenue lui paraît toute naturelle ! D'ailleurs, l'un des programmes européens qui financent notre recherche s'appelle "Disappearing computer" ...
Quant aux organisations syndicales de la recherche publique , elles appellent
les personnels ITA, chercheurs et les étudiants chercheurs à se rassembler
devant le ministère de la Recherche (1, rue Descartes à Paris), le
4 novembre à 15 heures, afin d'exprimer
- le rejet du projet de budget pour l'année 2003,
- l'exigence de créations d'emplois d'ITA et de chercheurs de tous niveaux,
et d'une augmentation sensible des moyens financiers d'Etat pour les
établissements de recherche publique.
Dirigé par le philosophe Bernard Stiegler, l'Ircam explore hardiment les question ouvertes par le devenir des technologies électroniques. Dans cet esprit, il crée Résonances, "rencontres internationales des technologies pour la musique". La première édition s'est tenue du 13 au 20 octobre au siège de l'Institut (Centre Georges Pompidou) et à la Cité de la musique. Elle a égalé, voire surpassé le Siggraph par la diversité de ses ateliers de spatialisation du son, de rapports nouveaux vidéo, son, espace d'exposition, d'interfaces homme machine sensibles et intelligentes. Résonances désormais reviendra chaque automne.
Sur le thème central "Les nouveaux instruments et l'écoute active instrumentée", la manifestation mis en scène la convergence numérique entre dispositifs d'écoute de plus en plus "active" et la lutherie électronique, grâce aux technologies d'analyse du son et de la musique les plus récentes.
Honneur aux logiciels libres! Franz Meyer de Red Hat et François Dechelle, (Ircam) ont présenté le projet Agnula, soutenu par la Commission européenne. Il s'agit de promouvoir la plate-forme PC/Linux pour les applications audio et musicales professionnelles. De fait, la distribution Linux est orientée vers l'audio (Debian, Red Hat). Outre la disponibilité d'applications telles que jMax, Open Music et la librairie SDIF (Sound description interchange format), l'Ircam est plus particulièrement impliqué dans la réalisation de la distribution Redhat, en collaboration avec la société Red Hat France.
Si quelques concerts didactiques étaient joués de manière presque classique, des "Sound Installations", des "Installations" révélaient de façon permanente une scénographie de type nouveau dans les différents ateliers. Tel Soundb1ts, composition pour mur de haut-parleurs de Robin Minard et Norbert Schnell. Ces installations sonores sont conçues pour des centaines (parfois des milliers) de haut-parleurs piézoélectriques alimentés par des systèmes audio 16 pistes. L'intérêt auditif est créé par la spatialisation.
Instruments nouveaux : le carillon concertomatique (37 tubes résonnants raccordés) et la caméra musicale, instrument "immatériel", issu d'une interface conçue par Sylvain Aubin. Cette dernière permet de créer de la musique avec les mouvements des mains sans aucun contact avec des capteurs. Chambre 17 (Downtown Hotel), une installation pilotée par ordinateur de Guillaume Chiron, met en place un dispositif interactif et sonore, des capteurs étant reliés à chaque objet de la chambre qu'explore le spectateur. Le dispositif Réflexions associe, lui, le "cube" développé par l'Ircam et l'"audiospotlight" développé par le MIT. L'audiospotlight est un haut-parleur à ultrasons émettant en faisceau comme un projecteur dirigé sur l'intrépide entrant dans la zone active.
Avec Diaph-Maâlem Experience le public pénètre à l'intérieur d'un dispositif d'immersion audio-photographique composé de 4 écrans et d'une ceinture de huit haut-parleurs. Dans le dispositif utilisé ici, deux ordinateurs pilotent quatre vidéoprojecteurs, alors qu'un troisième analyse l'image captée par la caméra qui suit le pendule et contrôle aussi le Ring, dispositif de diffusion sonore octophonique. L'ensemble communique par un réseau TCP/IP. Partenaire du projet, le studio créatif de France Télécom R&D.
Carrouso (Creating, assessing and rendering in real-time of high-quality audio-visual environments in MPEG-4 context) vise le développement de technologies holographiques permettant le transfert d'une scène sonore réelle ou virtuelle.
Le Fraunhofer Institut Metadaten Group, spécialiste de compression du son et inventeur du MP3 propose un moteur de recherche assez exceptionnel puisqu'il permet la recherche par chantonnement (query by humming) ou par l'introduction d'une mélodie avec un instrument (query by playing). Sur l'écran du PC s'affichent les titres trouvés par ordre de proximité.
La Stretch Machine de Patrice Moullet et Guy Reibel, toile d'araignée de gros cordons élastiques transmet à de petits marteaux métalliques les vibrations produites par la main sur ces cordes inédites.
Evénement associé, l'exposition Sonic Process au Centre Pompidou (jusqu'en janvier 2003) comporte huit autres dispositifs d'artistes, véritables "studios son", produits pour l'occasion.
Pointeurs : Servovalve, Gratin, Arkaos, Citypercussion.
On peut s'abonner sur le site.
Malgré son caractère très commercial, nous publions en document joint le communiqué de la société, car il illustre bien l'état de l'art et les applications actuelles de ce type d'outils.
Pour visualiser le carré presse de la société Elan Speech.
NDLR; Sur la technologie des services web, rappelons le solide ouvrage de Jean-Marie Chauvet : Services web avec Soap, XSDL, UDDI, ebXML... (Eyrolles 2002).
Contact Jacques Laffut - + 32 27 28 05 27.
Calcul distribué D. Malkhi (Ed.): Distributed computing 16th International conference, DISC 2002, Toulouse, France, October 28-30, 2002. Proceedings
Management du commerce électronique M. Feridun, P. Kropf, G. Babin (Eds.): Management technologies for e-commerce and c-business applications 13th IFIP/IEEE International workshop on distributed systems: operations and management, DSOM 2002, Montreal, Canada, October 21-23, 2002. Proceedings
Logiciel enfoui A. Sangiovanni-Vincentelli, J. Sifakis (Eds.): Embedded Software Second international conference, Emsoft 2002, Grenoble, France, October 7-9, 2002. Proceedings
Calcul pair-à-pair sur le Web E. Gregori, L. Cherkasova, G. Cugola, F. Panzieri, G.P. Picco (Eds.): Web Engineering and Peer-to-Peer Computing NETWORKING 2002. Workshops Pisa, Italy, May 19-24, 2002. Revised Papers
Programme prévisionnel :
- Présentation, par Michel Volle,
- Assurer la qualité de service, par un représentant de l'
Afaq,
- Rechercher l'optimum entre besoins et coûts, par un représentant de l'
Afav.
Mettez un message pour vous inscrire gratuitement.
Spécialiste de l'information non structurée, basé sur des algorithmes de
reconnaissance des formes, inférences de Bayes, il "conceptualise"
aussi bien l'audio et la vidé:o que le texte.
Mireille Boris
Les travaux des lauréats seront publiés dans la collection "Partage du savoir" PUF/Le Monde.
Ces dernières années, la croissance importante du nombre des déplacements de biens et de personnes a introduit une complexité grandissante des tâches d'exploitation et de supervision de trafic. Les opérateurs de transport (régulateurs de lignes de bus, opérateurs de trafic routier, ferroviaire et maritime, contrôleurs aériens, dispatcheurs, répartiteurs des flottes de transport de marchandises) éprouvent de nombreuses difficultés à assurer les tâches de surveillance, de contrôle et de décision qui leur sont assignées, que ce soit du point de vue de la charge de travail, de l'expérience professionnelle et de la compétence à mettre en oeuvre.
L'exigence d'une réactivité plus grande face aux perturbations à la fois internes (défaillance dans les ressources matérielles et humaines) et externes (incident, crise,...), la nécessité de gérer des interactions multiples avec un grand nombre d'acteurs (conducteurs, voyageurs, opérateurs et autres systèmes de transport), la multiplicité et l'imbrication des fonctions à assurer : de maintenance, de surveillance et de contrôle, de sécurité (gestion des conflits), l'aspect sécuritaire (en cas d'agression,.) font partie des éléments de cette complexité qui a contribué à l'échec des premières tentatives d'automatisation complète de certaines tâches d'exploitation.
A contrario, la considération du caractère incontournable de l'opérateur a conduit au développement des interfaces homme-machine qui figurent parmi les technologies de l'information et de la communication utilisées aujourd'hui de façon courante dans les postes centralisés (PC) de trafic, qu'il s'agisse de transport aérien, ferroviaire, maritime ou routier. Dans ces contextes, les technologies des IHM doivent permettre d'établir les bases d'une coopération où l'homme et la machine se complètent et s'aident mutuellement. À l'époque du développement des transports intelligents, le problème de l'interaction homme-système est la source de nombreux travaux de recherche et de développement. L'ingénierie des systèmes interactifs propose des nouveaux modèles d'interaction autre que la manipulation directe (clavier, souris) qui pourraient s'avérer utiles aux opérations de supervision de trafic.
Les contraintes associées à l'exploitation des modes de transport que ce soit au niveau de la forme (gestion individualisée des flottes vs gestion des flux), des échelles temporelles d'intervention et des dimensions de l'espace considéré ont engendré des solutions différentes. Pour cette raison, cette troisième session du Forum dédiée au domaine de la supervision de trafic invite également à une confrontation transversale de ces diverses approches.
Organisé dans le cadre du Forum " Systèmes et Logiciels pour les NTIC dans
le Transport " de l'Inrets, le présent séminaire, qui se tiendra le jeudi
12 décembre 2002 à Paris au Cnam (Conservatoire national des arts et métiers),
a le triple but :
1- de faire le point sur la pratique des différents modes d'interface dans
le contexte de la supervision de trafic,
2- d'expliciter les besoins non ou mal couverts,
3- de décrire des applications de supervision de trafic en vraie
grandeur et opérationnelles.
Contact Jean-Claude Rault.
- Afia
- Afig
- Afihm
- ASF
- ACM Sigops
- Atala
- Atief
- Cigref
- Creis
- GRCE
- Gutenberg
- Inforsid
- Specif
Pourquoi un Français n'arrive-t-il jamais à se suicider ? Parce qu'il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête, en plein dans son complexe de supériorité .......
Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ?
- Un trilingue.
- Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle deux langues ?
- Un bilingue.
- Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ?
- Un Français.